Un travail entamé depuis longtemps, et pas encore tout à fait fini : un bébé princier assoupi sur sa monture.
L’âne est fait en terre-papier, sur une armature métallique, puis peint. La technique permet (en principe) de réaliser des grandes pièces pas trop lourdes, et qui ne sont pas très sensibles au retrait à la cuisson.
Il me reste à coudre un beau manteau, s’étalant avec le plus de majesté possible sur la croupe de l’âne.
Terre-papier, terre, tissus, bois, peinture…